Le style fait-il vraiment l’homme ? A-t-on encore le droit de théoriser la littérature ? L’écrivain peut-il être autonome ? Et son engagement politique effectif ? Le succès public est-il « sale » ? Et le passé simple obsolète ? Avec humour, malice et une belle inspiration, Sophie Divry se propose d’interroger les idées reçues qui pèsent sur la conscience de l’écrivain et a, depuis longtemps, infiltré les esprits des lecteurs et de la société littéraire. Une vigueur lumineuse qui vise à prouver que non : le roman n’est pas mort et la littérature vaut le coup !
Sophie Divry, Rouvrir le roman, Notabilia, 2017.