Quelle est cette curieuse pratique qui consiste à accumuler des traces ? Pourquoi soudain une lettre reçue, un carnet, une photographie deviennent-ils des objets précieux ? Quel est cet effet que produit sur nous l’archive ? Quelle est donc cette dépouille qui nous saisit ?
À partir de ces questions, Philippe Artières proposera une série de dérivations, entre disparition et deuil, intime et social, murmures et cris.
À lire –
A lire : Philippe Artières, Dépouillement, subs. Masc., coll. « Le lieu de l’archive », IMEC, 2013.