Elles sont trois filles, trois voix, qui portent les voix de centaines de filles. Elles sont trois mutines, trois luttes pour trois heures de liberté. À chaque voix, un motif électronique, à chaque heure, une chorégraphie musicale. Tandis que s’élèvent implacablement les images des écoles de préservation, bagnes de nos sœurs, de nos mères, de nos filles – sur scène voix parlée et musicale s’unissent pour entonner le seul chant possible, celui de la liberté.
En partenariat avec le Festival Effractions.

À lire –
Perrine Le Querrec, Mutines, La Contre allée, 2026.