« Que de chemins mènent / à Dieu / le mien sera / charnel »,
écrit Moris Farhi, écrivain d’origine turque et de langue anglaise, en ouverture du recueil de l’ensemble de ses poèmes, Cantates des deux continents. Ses poèmes sont un appel à la fraternité, un hymne à la vie, un chant cru, joyeux, paillard.
Ils font écho à son oeuvre magistrale de romancier qui puise dans l’Histoire souvent noire et emprunte à l’épique. En témoigne le roman que les Éditions Bleu autour font paraître en même temps que ce recueil de poèmes : Les Enfants du Romanestan, fable sombre, enchantée aussi, sur l’épopée des Roms. Un texte d’une rare force, comme l’était aussi Jeunes Turcs (Phébus), premier roman traduit en français de cet auteur né à Ankara en 1935 et établi outre-Manche depuis 1954.
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PRÉSENTATION EN AVANT-PREMIÈRE DE CES DEUX OUVRAGES PAR LEUR AUTEUR ET LEURS TRADUCTRICES, ESTHER HEBOYAN ET MARTINE CHARD-HUTCHINSON
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LECTURE PAR LA COMÉDIENNE CATHERINE ANDREUCCI DE POÈMES DE MORIS FARHI
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EXPOSITION DES GRAVURES ORIGINALES DE FLORENCE HINNEBURG QUI TRACENT DANS CANTATES DES DEUX CONTINENTS UN CHEMIN PARALLÈLE À CELUI DES POÈMES
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DÉDICACE DES DEUX LIVRES (QUI SORTIRONT EN LIBRAIRIE DÉBUT JANVIER 2014) ET ÉCHANGES AVEC LEUR AUTEUR AUTOUR D’UN VERRE DE SAINT-POURÇAIN
A lire – Moris Farhi, Cantates des deux continents, Bleu autour, coll. « Poésie étrangère », janvier 2014. Les enfants du Romanestan, Bleu autour, 2014.