À l’occasion de ses 100 ans, cet hommage est un alléluia, un Ayibobo, comme on dit en Haïti, car René Depestre nous rappelle que la poésie n’est pas une fuite, ni un ornement, c’est un acte de présence, un geste de résistance, une danse tenue debout : « Un poète qui ne sent pas la terre sous ses pieds ne peut pas parler au ciel. »
Une plongée poétique et musicale dans l’œuvre d’un géant, René Depestre, dans tous ses états : poète, romancier, essayiste, voyageur infatigable, révolutionnaire de la tendresse.