« Le poème migre / Il s’appelle / Chant sans Terre / il est serpent et dragon / tout à la fois sol des Migrants et Mer / Sans racine de terre, / Ulysse de justesse ? »
Laure Gauthier poursuit ici son travail poétique sur l’énonciation et la polyphonie. Ainsi ses deux suites chorales inscrivent un même terrain de l’expérience du monde et de la relation à l’autre, plus singulièrement, de la relation amoureuse au sens le plus large et profond qui soit.
À lire –
Laure Gauthier, Outrechanter, éd. La Lettre volée, 2025.