Quand Dominique Fourcade écrit que « nous avons besoin du tic-tac les uns des autres », Jean-Christophe Bailly évoque dans Temps réel la « ponctualité » du poème. On pourrait, dit-il, décrire l’action du poème comme « une acupuncture improvisée qui inventerait ses méridiens en progressant point après point, même si parfois elle donne, en tout cas au moment de l’écriture, l’impression qu’elle suit un tracé ».
Poignant, le poème pointe.
Ponctuelle en cette rentrée d’automne, la revue Po&sie vous convie à ses Entretiens consacrés au numéro 188 (2024/2).
À lire –
Numéro 188 de la revue Po&sie, éd. Belin.