Jean-Christophe Bailly – « Lenz revient et c’est de lui qu’on part » ·  Jean-Christophe Bailly – « Lenz revient et c’est de lui qu’on part » · 
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Rencontre & lecture
mardi 2 décembre 2014

Jean-Christophe Bailly – « Lenz revient et c’est de lui qu’on part »

Autour de la publication de son livre d’entretiens avec Philippe Roux publié par les éditions Argol, Passer définir connecter infinir, Jean-Christophe Bailly – puisque ce sera un 20 janvier – reviendra sur le sens de cette date et commencera sa lecture avec le légendaire départ de Lenz dans la forêt (en référence au récit que Georg Büchner fit de la folie de Lenz).
Avec des projections d’images (signées Sylvain Maestraggi et Annabelle Amoros) puis avec la voix seule, via plusieurs textes ou poèmes inédits, il tentera, au-delà de la visite à ce camp de base büchnerien, de donner corps à ce qu’il a tenté d’identifier quant à la diction particulière au poème.

Dramaturge, poète, philosophe, historien de l’art et penseur politique, Jean-Christophe Bailly est la multiplicité en personne, fidèle à la singularité d’une oeuvre fondée sur l’expérience et hantée par une pensée du sensible. Directeur de collections chez Hazan et Christian Bourgois, il enseigne également à l’École nationale supérieure de la nature et du paysage à Blois.

À lire

A lire : Jean-Christophe Bailly & Philippe Roux, Passer définir connecter infinir, Argol, 2014.
Georg Büchner : Lenz / Le messager hessois / Caton d’Utique / Correspondance, préface de Jean-Christophe Bailly, trad. de l’allemand par Henri-Alexis Baatsch, éd. Christian Bourgois, 2014.
Sylvain Maestraggi, Waldersbach, postface de Jean-Christophe Bailly, L’Astrée rugueuse, 2014.