Les éditeurs alternatifs – préférons ce terme à celui de petits éditeurs – n’ont intégré ni les grands flux de la diffusion, ni ceux de l’information. Cela les rend par essence discrets, difficiles à découvrir, et les oblige à penser leurs catalogues différemment. Ce cycle s’efforce de mettre en avant leur travail.
Ce soir Jean-Luc d’Asciano invite Oristelle Bonis, éditrice à la maison d’édition associative iXe, qui pose des jalons dans le paysage féministe et questionne la marque du genre.
À lire –
Thierry Hoquet, Déicide, ou la liberté, iXe, 2017.