Dans le sillon d’une nouvelle génération de poètes·ses, Arthur Ely propose une écriture viscérale et impertinente qui se revendique à voix haute.
Il dépeint le deuil, l’amour, la nourriture et les galères dans des performances hybrides, entre rap, chanson et poésie. S’en dégage un étrange sentiment de paix et de résilience heureuse.
Cette langue, intime et déroutante, se retrouve dans son premier recueil Les jours fument ta viande, et dans les titres de son album à venir en 2025.
Hyperpoésie sera aussi l’occasion de faire entendre d’autres voix de la poésie actuelle à travers des performances d’invités surprises.
Arthur Ely, Les jours fument ta viande, éd. 10 pages au carré, 2024.