Il y a dix ans déjà, un colloque universitaire s’interrogeait sur l’excès en ces termes : « signe ou poncif de la modernité ? »
De quels excès deux poètes remarquables comme Amandine André et Anne-Claire Hello, qui ne manquent pas de chien, sont-elles
capables ? Pour quels effets subversifs ? Le fait que ce soient des voix féminines est-il significatif ? Quels sont leurs rapports à la
modernité avant-gardiste ?
À lire –
aux éditions Al dante, Amandine André, De la destruction, 2016 – Anne-Claire Hello, Naissance de la gueule, 2015.
Soirée proposée par remue.net.