Vertu est le nom choisi par Laure pour incarner son rôle de capitaine de police intransigeante et exemplaire. Un patronyme pour enterrer l’héritage familial.
Serait-ce une clé à sa démission brutale et inexpliquée de la brigade anti-fraude ? Ou y a-t-il un secret ailleurs ?
Le roman débute comme une enquête avant de se parer d’accents quasi-fantastiques, sur les traces de Laure Vertu, ses rêves, ses espoirs, ses refus, sa très belle lutte, surtout, contre l’aliénation.
À lire –
Lucie Taïeb, Capitaine Vertu, L’Ogre, 2022.