La mélancolie des confins est un ensemble de textes encore inédit, un cycle, qui explore, entre front et frontière, l’Europe par ses limites. Un récit documentaire qui tourne autour d’un narrateur à la première personne, à la fois voyageur, arpenteur et rat de bibliothèque.
Reprenant sa promenade berlinoise, le narrateur des Confins s’interroge sur l’amitié : l’amitié qui le lie à E., mais aussi l’amitié entre Jakob Lenz et Johann Goethe, entre ce même Goethe et Friedrich Schiller ou entre Bernard de Clairvaux et Mélisende de Jérusalem.
À lire –
Mathias Enard, Le Banquet annuel de la Confrérie des fossoyeurs, Actes Sud, 2020.