Au sommet de sa carrière, Elsa M. Anderson perd ses moyens et quitte la Salle dorée de Vienne en plein récital du Concerto n°2 de Rachmaninov. Une fuite en avant qui prend rapidement la forme d'une quête d'identité. D'Athènes à Londres puis à Paris, Bleu d'août dresse le portrait éblouissant, tout en mélancolie et métamorphose, d'une femme empêchée de jouer sa partition tant qu'elle ne se confronte pas à son passé.
À lire –
Deborah Levy, Bleu d’août, trad. de l’anglais par Céline Leroy, éd. du sous-sol, 2025.